Marie de Rabutin-Chantal, connue comme la marquise ou, plus simplement, Madame de Sévigné, née le à Paris à la paroisse Saint-Paul, et morte le au château de Grignan (en Provence), est une épistolière française.
Les lettres qu'elle écrivit à sa fille, Madame de Grignan, sont devenues un incontournable de la littérature française.
Elles constituent également une source remarquable de l'analyse des relations intergénérationnelles et de leur histoire.
Source : Wikipedia
Ne lui demandez pas de se connaître, vous savez bien qu'une femme ne voit jamais les défauts de ceux qu'elle aime.
Les choses n'arrivent quasi jamais comme on se les imagine.
La plupart des femmes ont toujours assez d'esprit pour se tirer d'une situation difficile. Mieux vaudrait qu'elles aient eu celui de l'éviter.
La mémoire est dans le coeur.
Gare à la flatterie, ma fille : trop de sucre gâte les dents.
Une femme sans beauté ne connaît que la moitié de la vie.
La mort nous égale tous ; c'est où nous attendons les gens heureux : elle rabat leur joie et leur orgueil, et console par là ceux qui ne sont pas fortunés.
La vie est trop courte pour se tuer ; ce n'est pas la peine de s'impatienter.
Il n'y a qu'à être en Espagne pour n'avoir plus envie d'y bâtir des châteaux.