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Georges Simenon

Georges Simenon

Écrivain belge


Mort à 86 ans
Date de naissance
Le vendredi
Il est né il y a 121 ans, 2 mois et 12 jours
Date de mort
Le lundi

Il est mort depuis 34 ans, 7 mois et 21 jours

Cause de la mort : cause naturelle

Lieu de naissance
Liège, Belgique Belgique
Nationalité : belge Belgique
Signe astro : Verseau
Signe astro chinois : Lapin

Célébrité liée


Georges Simenon, né le à Liège (Belgique) et mort le à Lausanne (Suisse), est un romancier belge francophone.

L'abondance et le succès de ses romans policiers — dont les Maigret — éclipsent en partie le reste de son œuvre très riche : 193 romans, 158 nouvelles, plusieurs œuvres autobiographiques et de nombreux articles et reportages publiés sous son propre nom, ainsi que 176 romans, des dizaines de nouvelles, contes galants et articles parus sous 27 pseudonymes. Il est l'auteur belge le plus lu dans le monde. Les tirages cumulés de ses livres atteignent 550 millions d’exemplaires. Georges Simenon est, selon l'Index Translationum de l'UNESCO, le dix-septième auteur toutes nationalités confondues, le troisième auteur de langue française après Jules Verne et Alexandre Dumas, et l'auteur belge le plus traduit dans le monde (3 500 traductions en 47 langues).

André Gide, André Thérive et Robert Brasillach sont parmi les premiers hommes de lettres à le reconnaître comme un grand écrivain. André Gide, fasciné par la créativité de Georges Simenon qu'il avait souhaité rencontrer dès son succès policier, le questionna à maintes reprises, échangea une correspondance quasi hebdomadaire pour suivre les méandres créatifs de cet écrivain populaire et prit la surprenante manie d'annoter en marge tous ses romans, pour conclure en 1939 :

« Simenon est un romancier de génie et le plus vraiment romancier que nous ayons dans notre littérature d'aujourd'hui. »

Source : Wikipedia 
Nous sommes un peu comme des éponges qui aspirons la vie sans le savoir et qui la rendons ensuite, transformée, sans connaître le travail d'alchimie qui s'est produit en nous.
La bonne cuisine, c'est le souvenir.
Je n'utilise pas d'adverbes. Je n'utilise que des mots à trois dimensions.
L'homme, c'est chez la femme que je l'ai trouvé.
Un personnage de roman, c'est n'importe qui dans la rue, mais qui va jusqu'au bout de lui-même.
Il faut essayer, sentir. Avoir boxé, menti... Avoir tout fait, non à fond mais assez pour comprendre.
Les événements mémorables ne ressemblent jamais à ce qu'on attend d'eux.
L'homme a voulu vivre en société, mais aussi depuis qu'elle existe, l'homme emploie une bonne part de son énergie à lutter contre elle.
Est-ce que, lorsqu'on sait que l'on va partir, on acquiert une lucidité qu'on n'a pas eue auparavant ?